片名:笔记·日志·素描HD中字
《笔记·日志·素描》乔纳斯·梅卡斯拍的这部电影,什么时候公映啊
《笔记·日志·素描》高清记录片电影完整版http://www.mktvs.com/play/36466-0-0.html
制片地区: 美国
导演: 乔纳斯·梅卡斯
编剧: 乔纳斯·梅卡斯
主演: 蒂莫西·利瑞,艾德·艾姆许维勒,Franz Fuenstler,杰克·史密斯,Mario Montez,尼可,伊迪·塞奇威克,安迪·沃霍尔,朱迪丝·马利纳,Storm De Hirsch,诺曼·梅勒,艾伦·金斯堡,约翰·列侬,小野洋子,Leo Adams,斯坦·布拉哈格,卡尔·西奥多·德莱叶
上映时间: 1969
对白语言: 汉语普通话 / 英语
色彩: 彩色
更新时间:2024-04-25 13:21
《笔记·日志·素描》是根据一个真实故事改编的,那《笔记·日志·素描》故事的大致内容是怎样的??
Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969
Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.
« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »
Jonas Mekas
« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »
Jonas Mekas, 1972
« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »
P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997
« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »
Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
22、电影《笔记·日志·素描》首播,这部剧的收视与口碑如何?
《笔记·日志·素描》这部剧的收视率还不错,但是口碑总体来说一般。网络褒贬不一,《笔记·日志·素描》在某瓣的评分还没开分,不过热评里面大部分几乎都是吐槽。小编自己也看了这部剧,蒂莫西·利瑞,艾德·艾姆许维勒,Franz Fuenstler,杰克·史密斯,Mario Montez,尼可,伊迪·塞奇威克,安迪·沃霍尔,朱迪丝·马利纳,Storm De Hirsch,诺曼·梅勒,艾伦·金斯堡,约翰·列侬,小野洋子,Leo Adams,斯坦·布拉哈格,卡尔·西奥多·德莱叶还是演的挺好的。
23、《笔记·日志·素描》为什么未播先火?
首先,我个人对于《笔记·日志·素描》的态度是:这部电影我非常喜欢,我也一定会去追这部《笔记·日志·素描》。《笔记·日志·素描》改编于同名小说,其次,这部剧的导演是乔纳斯·梅卡斯。很多著名电影都出自于乔纳斯·梅卡斯之手,也都是高口碑记录片,《笔记·日志·素描》也邀请了原著作者担任该剧的编剧,以做到对原著的最大还原。导演:乔纳斯·梅卡斯+原著作者+主演:蒂莫西·利瑞,艾德·艾姆许维勒,Franz Fuenstler,杰克·史密斯,Mario Montez,尼可,伊迪·塞奇威克,安迪·沃霍尔,朱迪丝·马利纳,Storm De Hirsch,诺曼·梅勒,艾伦·金斯堡,约翰·列侬,小野洋子,Leo Adams,斯坦·布拉哈格,卡尔·西奥多·德莱叶组合,《笔记·日志·素描》是强强联合的组合。
24、《笔记·日志·素描》主演阵容都有谁?
《笔记·日志·素描》由乔纳斯·梅卡斯执导,蒂莫西·利瑞,艾德·艾姆许维勒,Franz Fuenstler,杰克·史密斯,Mario Montez,尼可,伊迪·塞奇威克,安迪·沃霍尔,朱迪丝·马利纳,Storm De Hirsch,诺曼·梅勒,艾伦·金斯堡,约翰·列侬,小野洋子,Leo Adams,斯坦·布拉哈格,卡尔·西奥多·德莱叶领衔主演。
25、《笔记·日志·素描》是哪一年在美国上映的?
《笔记·日志·素描》于1969在美国上映,《笔记·日志·素描》由导演:乔纳斯·梅卡斯执导,蒂莫西·利瑞,艾德·艾姆许维勒,Franz Fuenstler,杰克·史密斯,Mario Montez,尼可,伊迪·塞奇威克,安迪·沃霍尔,朱迪丝·马利纳,Storm De Hirsch,诺曼·梅勒,艾伦·金斯堡,约翰·列侬,小野洋子,Leo Adams,斯坦·布拉哈格,卡尔·西奥多·德莱叶领衔主演的记录片。
26、《笔记·日志·素描》是根据一个真实故事改编的,那《笔记·日志·素描》故事的大致内容是怎样的??
Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969
Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.
« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »
Jonas Mekas
« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »
Jonas Mekas, 1972
« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »
P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997
« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »
Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
27、《笔记·日志·素描》电影的主要内容
《笔记·日志·素描》是一部记录片电影,由导演:乔纳斯·梅卡斯执导,主演:蒂莫西·利瑞,艾德·艾姆许维勒,Franz Fuenstler,杰克·史密斯,Mario Montez,尼可,伊迪·塞奇威克,安迪·沃霍尔,朱迪丝·马利纳,Storm De Hirsch,诺曼·梅勒,艾伦·金斯堡,约翰·列侬,小野洋子,Leo Adams,斯坦·布拉哈格,卡尔·西奥多·德莱叶,
Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969
Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.
« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »
Jonas Mekas
« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »
Jonas Mekas, 1972
« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »
P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997
« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »
Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
28、《笔记·日志·素描》在哪里可看?
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